Ophrys, 2000. — 164 p.
Le premier chapitre aborde sans détour la relation entre le parlé et l’écrit. Ce dernier n’est pas une représentation tout à fait cohérente de l’oral, qui, lui, n’est pas une dégénérescence de l’écrit. Le deuxième chapitre nous met en garde contre la réduction du français parlé au français familier. Il traite en outre des différences de description, d’usages, de niveaux et de registres.
Le troisième chapitre, quant à lui, donne un aperçu des différents domaines intéressés par l’étude de l’oral. Enfin, les trois derniers chapitres exposent un certain nombre de résultats relevant de la syntaxe, de la macrosyntaxe et de la morphologie.